BOUDRAA Hocine

Hocine BOUDRAA est né le 17 décembre 1969. Il était célibataire. Il travaillait en tant que fonctionnaire à OUED SOMMAR.

HISTOIRE DE LA DISPARITION

Hocine partit comme d’habitude au village de OULED HAAMACHE dans la commune de MAFTAH, là où il habite, pour emmener ses moutons brouter.
Un ratissage a été effectué soudainement par des militaires venus de la ville de MEFTAH et de HAMMADI. Il a été arrêté lors de ce ratissage.

Un an et demi avant sa disparition, la police de Bach Djarah est venue au domicile de Hocine pour le rechercher. La police a pris sa photo et le livret de famille. Ils ont également demandé au père de dire à son fils de se présenter au commissariat de BACH DJARAH. Le motif reste inconnu.

INITIATIVES DE LA FAMILLE

  • Plainte déposée par le père auprès du Ministre de l’Intérieur le 13/03/2004 et le 28/08/2005
  • Plainte déposée par le père auprès du Président de CNCPPDH le 13/03/2004 et le 28/08/2005
  • Plainte déposée par le père auprès du Président de la République le 13/03/2004 et le 28/08/2005
  • Plainte déposée par le père auprès du Ministre de la Justice le 13/03/2004 et le 28/08/2005
  • Plainte déposée par le père auprès du Chef du Gouvernement le 13/03/2004 et lee 28/08/2004
  • Plainte déposée par le père auprès du Procureur Général de la Cour de Blida le 29/04/2004. Suite à cette plainte, le 2 juin 2004, le père du disparu a été convoqué par le procureur général du tribunal de Blida, qui a ordonné au père de se rendre chez le procureur général du tribunal de LARBA. Là-bas, on lui dit de se rendre à la gendarmerie de MEFTAH car le dossier de Hocine y serait. Le 4 juin 2004, le père du disparu s’est rendu à la gendarmerie de MEFTAH. Il a été auditionné sur PV, et on lui a demandé de ramener des témoins puis d’aller à la caserne de HAMMADI car son fils avait été arrêté par les militaires de HAMMADI.

En 1996, suite à une plainte déposée, le père du disparu a été convoqué par les gendarmes de AIN NAADJA. Le 12 juin 2004, le père du disparu a été convoqué par les gendarmes de LEVEILLY à Alger, où on lui di que comme il avait mis l’adresse chez son frère, on ne pourrait pas lui venir en aide.